Zitate von Alphonse Marie Louis de Lamartine
Ein bekanntes Zitat von Alphonse Marie Louis de Lamartine:
Das Gewissen ist das Gesetz der Gesetze.
Informationen über Alphonse Marie Louis de Lamartine
Schriftsteller, Politiker, erster großer Lyriker der französichen Romantik, "Nouvelles Méditations" (Frankreich, 1790 - 1869).
Alphonse Marie Louis de Lamartine · Geburtsdatum · Sterbedatum
Alphonse Marie Louis de Lamartine wäre heute 233 Jahre, 11 Monate, 0 Tage oder 85.437 Tage alt.
Geboren am 21.10.1790 in Mâcon
Gestorben am 28.02.1869 in Paris
Sternzeichen: ♎ Waage
Unbekannt
Weitere 210 Zitate von Alphonse Marie Louis de Lamartine
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Ô lac! Rochers muets! Grottes! Forêt obscure! Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir, gardez de cette nuit, gardez, belle nature, au moins le souvenir!
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Ô temps! Suspends ton vol; et vous, heures propices suspendez votre cours!
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O travail, sainte loi du monde, - Ton mystère va s'accomplir! - Pour rendre la glèbe féconde, de sueur il faut l'amollir.
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Objets inanimés, avez-vous donc une âme qui s'attache à notre âme et la force d'aimer?
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On admire le monde à travers ce qu'on aime.
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On voudrait revenir à la page où l'on aime et la page où l'on meurt est déjà sous nos doigts.
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Or c'était dans ces jours avant que sur ces cimes dieu n'eût fait refluer les vagues des abîmes, quand tout être voisin de sa création, excepté l'homme, était dans sa perfection.
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Otez de la vie le cur qui vous aime: qu'y reste-t-il? Il en est de même de la nature. Effacez-en le site et la maison que vos pensées cherchent ou que vos souvenirs peuplent, ce n'est plus qu'un vide éclatant [. . .]. Chacun porte avec soi son point de vue. [. . .] Le spectacle est dans le spectateur.
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Où le temps a cessé tout n'est-il pas présent?
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Oui, ce monde, Seigneur, est vieilli pour ta gloire; - Il a perdu ton nom, ta trace et ta mémoire [. . .]
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Oui, je reviens à toi, berceau de mon enfance.
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Périssent nos mémoires, pourvu que nos idées triomphent! [. . .] Ce cri sera le mot d'ordre de ma vie politique [. . .]
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Pour le chrétien ou pour le philosophe, pour le moraliste ou pour l'historien, ce tombeau [le Saint-Sépulcre] est la borne qui sépare deux mondes [. . .]. Ce tombeau est le sépulcre du vieux monde et le berceau du monde nouveau.
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Pour tout peindre, il faut tout sentir.
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Pourquoi le prononcer, ce nom de la patrie? Dans son brillant exil mon cur en a frémi [. . .]
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Pourtant le soir qui tombe a des langueurs sereines que la fin donne à tout, aux bonheurs comme aux peines.
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Premier rayon du ciel vu dans des yeux de femmes, - Premier foyer d'une âme où s'allument nos âmes.
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Prends ton vol, ô mon âme! et dépouille tes chaînes. Déposer le fardeau des misères humaines, - Est-ce donc là mourir?
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Qu'est-ce donc que l'amour si son rêve est si doux?
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Qu'importe aux curs unis ce qui change autour d'eux?