Zitate von Stendhal
Ein bekanntes Zitat von Stendhal:
Die Ausbildung des Geistes bringt bei beiden Geschlechtern dieselben guten oder schlechten Wirkungen hervor.
Informationen über Stendhal
Schriftsteller, Offizier, Regierungsbeamter, "Rot und Schwarz", "Die Kartause von Parma" (Frankreich, 1783 - 1842).
Stendhal · Geburtsdatum · Sterbedatum
Stendhal wäre heute 241 Jahre, 7 Monate, 29 Tage oder 88.265 Tage alt.
Geboren am 23.01.1783 in Grenoble
Gestorben am 23.03.1842 in Paris
Sternzeichen: ♒ Wassermann
Unbekannt
Weitere 489 Zitate von Stendhal
-
J'ai éprouvé que la vue d'une belle mer est consolante.
-
J'ai eu quelques idées de finir, comme un jocrisse, par un coup de pistolet.
-
J'ai eu un lot exécrable de sept ans à dix-sept, mais, depuis le passage du mont Saint-Bernard (à 2491 métres d'élévation au-dessus de l'océan), je n'ai plus eu à me plaindre du destin, mais au contraire à m'en louer.
-
J'ai horreur de ce qui est sale, or le peuple est toujours sale à mes yeux. Il n'y a qu'une exception pour Rome, mais là la saleté est cachée par la férocité.
-
J'ai recherché avec une sensibilité exquise la vue des beaux paysages; c'est uniquement pour cela que j'ai voyagé. Les paysages étaient comme un archet qui jouait sur mon âme.
-
-
J'aimais et j'aime encore les mathématiques pour elles-mêmes comme n'admettant pas l'hypocrisie et le vague, mes deux bêtes d'aversion.
-
J'aime la force, et de la force que j'aime, une fourmi peut en montrer autant qu'un éléphant.
-
J'aime le style de ces histoires, c'est celui du peuple, il est rempli de pléonasmes et ne laisse jamais passer le nom d'une chose horrible sans nous apprendre qu'elle est horrible.
-
J'appelle caractère d'un homme sa manière habituelle d'aller à la chasse du bonheur, en termes plus clairs, mais moins significatifs: l'ensemble de ses habitudes morales.
-
Je craignais de déflorer les moments heureux que j'ai rencontrés, en les décrivant, en les anatomisant. Or, c'est ce que je ne ferai point, je sauterai le bonheur.
-
Je croirais assez que le bonheur immoral qu'on trouve à se venger en Italie tient à la force d'imagination de ce peuple; les gens des autres pays ne pardonnent pas à proprement parler, ils oublient.
-
Je fais tous les efforts possibles pour être sec. Je tremble toujours de n'avoir écrit qu'un soupir, quand je crois avoir noté une vérité.
-
Je me souviens du mot de monsieur de Talleyrand aux jeunes secrétaires d'ambassade: «Méfiez-vous du premier mouvement, il est toujours généreux.»
-
Je n'écris que pour cent lecteurs, et des êtres malheureux, aimables, charmants, point hypocrites, point moraux, auxquels je voudrais plaire; j'en connais à peine un ou deux.
-
Je ne fais point de plan. Quand cela m'est arrivé, j'ai été dégoûté du roman par le mécanisme que voici: je cherchais à me souvenir en écrivant le roman des choses auxquelles j'avais pensé en écrivant le plan, et, chez moi, le travail de la mémoire éteint l'imagination.
-
Je ne pourrais, ce me semble, peindre ce bonheur ravissant, pur, frais, divin, que par l'énumération des maux et de l'ennui dont il était l'absence complète. Or ce doit être une triste façon de peindre le bonheur.
-
Je ne puis être touché jusqu'à l'attendrissement qu'après un passage comique.
-
Je ne sais combien de lieues je ne ferais pas à pied, ou à combien de jours de prison je ne me soumettrais pas pour entendre Don Juan ou le Matrimonio Segreto, et je ne sais pour quelle autre chose je ferais cet effort.
-
Je ne vois qu'une règle: être clair. Si je ne suis pas clair, tout mon monde est anéanti.
-
Je ne vois que la condamnation à mort qui distingue un homme, pensa Mathilde: c'est la seule chose qui ne s'achète pas.